Christine Bracquenier
Cher Didier, ce n'est qu'aujourd'hui, pratiquement un mois après ta disparition, que je l'apprends. Je t'ai laissé, inquiète, de nombreux messages sur ton répondeur, et ce soir je suis anéantie par cette nouvelle. Mais c'est ta voix enjouée, enthousiaste qui résonne dans ma tête, nos fous rires, nos échanges pendant nos séances de travail, nous avions tant de projets encore à réaliser ensemble. Tu resteras aussi celui qui m'a soutenue dans les moments difficiles, qui m'a fait rire à travers mes larmes. Didier, tu laisses un grand vide, mais tu seras aussi toujours là. Merci à toi pour tout. Et je pense fort à toi, Birgit.