Notre secrétaire général Frédéric Vuillaume après avoir passé 9h en garde à vue le 26 avril 2023, puis présenté au procureur de la république, puis devant la juge des libertés et détentions qui a refusé de suivre la volonté du parquet de l'interdire de manifester dans toute la France jusqu'à la date du procès du 30 juin 2023, l'empêcher de rentrer en contact avec le journaliste indépendant Toufik de Planoise et de porter une arme, la juge des libertés a maintenu pour le contrôle judiciaire, l'interdiction de porter une arme et l'obligation de se rendre au procès du 30 juin 2023
Notre secrétaire général est encore une fois de plus ciblé par les autorités pour avoir participé comme de nombreuses personnes à des actions appelées par l'intersyndical départementale et nationale pour exiger le retrait de la réforme des retraites le 7 mars 2023 au rond-point des Mercureaux à Besançon et le 20 avril 2023 à la gare Viotte à Besançon.
Il est accusé d'entravé la circulation le 7 mars 2023 alors qu'il y avait plus de 100 manifestants ce jour là et d’avoir troublé ou entravé, la mise en marche ou la circulation des trains à la gare Viotte à Besançon
Sur cette affaire d'entrave à la circulation des trains, le journaliste indépendant Toufik de Planoise qui comme bien d'autres de ses confrères couvrait cette manifestation est lui aussi sur le banc des accusés.
Pour ces faits notre secrétaire général risque 2 ans de prison et 4500 euros d'amende pour la manifestation du 7 mars 2023 et 6 mois de prison et 3750 euros d'amende pour la manifestation du 20 avril 2023.
Le tribunal de Besançon à condamné notre secretaire général à un euro d'amende avec sursis et 5 ans de mise à l'épreuve pour avoir participé à l'action de blocage aux ronds-points des Mercureaux le 7 mars 2023 à Besançon applée par l'intersyndicale départementale répondant à l'appel de l'intersyndicale nationale pour lutter contre la réforme des retraites et il est relaxé pour l'entrave à la circulation des trains lors de l'action de l'intersyndicale contre la réforme des retraites le 20 avril 2023.
Cette condamnation peut paraitre légère mais c'est une condamnation pour essayer de l'empecher de revendiquer et à terme le faire taire.
Devant la gravité de cette décision qui remet en cause le droit de manifester il a fait appel à cette condamnation.
Amnesty International France a dénoncé cet acharnement
Il a déjà subi 9 gardes à vue totalisant 166h de privation de liberté, 5 procès à dont 4 relaxé, il a fait appel sur la decision du dernier datant du 30 juin 2023
une perquisition et 20 amendes à 135 euros toutes contestées
La dernière en date du 12 avril 2023 pour avoir donné un tract lors d'une distribution en intersyndicale sans être ni contrôlé ni informé de cette soit-disante infraction
Mise à jour du 24/07/2023
Notre secretaire à recu une nouvelle amende de 68 euros suite à une action du syndicat regroupant une vingtaine de personnes pour avoir scandé des slogans contre la réforme des retraites le 7 juillet 2023 lors de la venue d'Olivier Dussopt dans un lycée de Besançon.
Mise à jour du 22/02/2024
Nouvelle amende de 68 euros pour bruit ou tapage injurieux troublant la tranquillité d’autrui lors de la visite d’Aurore Bergé à Onans dans le Doubs pour avoir scandé sous mandat syndical des slogans contre la politique de casse social du gouvernement
Mise à jour du 16/03/2024
Arrestation brutale et choquante lors d’une manifestation, en me soulevant par les jambes, par les bras pour m’emmener manu militari dans le fourgon alors que j’étais sous mandat syndical le jour de la venue du premier ministre Gabriel Attal à l’Axone à Montbéliard 16h de GAV pour organisation d’une manifestation non déclarée, dossier classé sans suite, certificat de blessures aux poignets du aux menottes trop serrées et au choc de l’arrestation brutale 5 jours ITT
NOTRE SYNDICAT FORCE OUVRIERE CONSEIL REGIONAL DENONCE AVEC FORCE CET ACHARNEMENT POLICIER ET JUDICIAIRE SUR NOTRE SECRETAIRE GENERAL, CETTE CAGNOTTE LUI PERMETTRA DE PAYER LES FRAIS DE JUSTICE POUR ASSURER SA DEFENSE ET FINANCER UNE CONTRE ATTAQUE POUR FAIRE RENDRE DES COMPTES AUX DONNEURS D'ORDRES QUI ORGANISENT CETTE REPRESSION ET DEFENDRE LE DROIT DE MANIFESTER QUI EST ATTAQUE COMME JAMAIS